Troisième édition (pour ma part) du Topic d’écriture alternatif du forum HFR. Je rappelle que comme pour la nouvelle de l’été indien et la nouvelle du rude hiver, l’idée est d'écrire un texte libre, mais avec quelques légères contraintes, comme une liste de mots imposés (oui, comme dans les réunions pipotron). Vous trouverez les contraintes en question, ainsi que les excellentes participations sur le topic en question. Et la mienne dans les lignes qui suivent.

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C’est avec force de roulements de tambour, de joie et de cotillons qui volent dans la pièce alors que non, le réveillon de la nouvelle année n’est même pas encore dans les cartons, que je vous annonce la mise en ligne du site SkiShop Lélex (http://skishop-lelex.com), ainsi que l’ouverture imminente du magasin !

SkiShop Lélex, c’est un magasin de location de ski situé au pied de la télécabine du domaine de Lélex – Crozet, la plus grosse station de Monts Jura. Le magasin propose des tarifs et conditions de location avantageux du fait de son partenariat avec Skimium.com (groupe Décathlon), mais également la possibilité exclusive d’essayer le snowscoot, une trottinette des neiges très fun et accessible, dont la pratique est – chose rare – autorisée sur le domaine de Lélex – Crozet.

Mais surtout, vous serez conseillés et servis par Julien, un mec sympa, disponible et compétent… Et accessoirement mon cousin, ce qui ne gâche rien ;)

N’hésitez pas facebooker, twitter, spammer, bref à partager cette bonne adresse autour de vous !

À suivre : l’automne indien.

Il y a quelques années, lors d’un trajet domicile-kebab accompagné de quelques membres du 10 Crew, nous nous mîmes simultanément à l’arrêt devant une louloute qui passait son chemin. Je vous donne ici le dialogue, certains adjectifs ayant été remplacés pour ne pas heurter les jeunes lecteurs et autres féministes :

Mais matez moi cette flûte à droite !
— Ha ouai, bravo mademoiselle ! Ça, ça vaut un 14 tous les jours.
— Grave, j’lui donne un 8 sans alcool…
— Attend, 8, sur 10 non ?!?
— De toute manière et vue de dos, un 13 pouces comme ça, je note pas en dessous du 82 % mettable.
— 13 pouces ?
— Diagonale de son cul, suit un peu…

Je ne tente pas ici de mettre en valeur notre côté salement misogyne, mais de vous exposer un problème de fond pour la gent masculine, et ce depuis que l’homme est Homme : comment noter de manière objective et universelle le physique d’une nana ?

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Un billet court de sponsoring, pour indiquer que reptou.net, un blog axé sur la ToIP Cisco et générique est récemment devenu telecom-reseaux.net, Le blog des nouvelles technologies réseaux, télécoms et du domaine de la sécurité.

Le site est – vous en jugerez – d’une grande qualité. Même si je n’y comprends pas grand-chose…

À suivre : mariage en Gros.

Je l’annonçais depuis des éons, voici venir le petit coup de pinceau estival ! En noir, avec de la bière, du soleil et des filles dénudées si vous y croyez très fort.

N’hésitez pas à me faire part de vos remarques, désobligeantes il va de soi, sur la page qui va bien.

À suivre : mariage en Gros.

En cette ère troublée par des classements télévisuels (un billet retrouvé dans les méandres de mon disque, commencé durant les beaux jours des émissions telles que Les 100 plus grandes reprises de la chanson russe par Sim et Jean Roucas, donc il n’y a pas si longtemps, NDLR) aussi difficiles à départager dans la médiocrité que deux dragueurs saouls célibataires, j’ai décidé d’inaugurer une nouvelle section sur ce blog saturé de billets sur mes soirées dépavées. Voici donc les classements des trois plus grands (mieux qu’un duo, plus facile à trouver que quatre, et a-t-on déjà vu un classement de quatre ?).

Pour ouvrir le bal, et puisqu’à l’impossible nul n’est tenu, voyons aujourd’hui ce qu’il conviendrait d’appeler les trois plus grands actes impossibles à réaliser.

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Je suis tombé sur quelques brouillons de billets que, de toute évidence, je ne terminerais jamais. Plutôt que de les laisser se perdre dans l’attente fébrile d’une suppression accidentelle, je les publie ici. Certains y trouveront peut-être l’inspiration pour me proposer une idée fulgurante, beaucoup noteront la redondance dans l’évocation de ma perte d’inspiration. Ça va un peu dans le même sens tout ça…

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Depuis quelques temps déjà, je galère pour écrire de nouveaux billets, mais aussi pour créer un thème sympa pour ce blog (oui je suis un piètre designer et oui, le thème actuel est moche et terriblement impersonnel). J’ai même du mal à écrire un billet sur la perte de ce mojo, c’est dire. De quoi finalement se poser des questions sur la démarche et l’avenir des écrits, allons-y pour la démarche.

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Il y a quelques temps de cela, je publiais sur le (défunt ?) site du dernier rang – une association de malfaiteurs officiant au fond des salles de cours durant notre formation, avec laquelle je n’ai absolument rien à voir – un article d’introduction à la validation de formulaire par Javascript. Introduction, puisque nombre de librairies font mieux pour moins d’efforts, l’objectif ici étant de comprendre les problématiques sous-jacentes aux mécanismes dynamiques du web, et d’aborder par la même occasion la question de l’accessibilité. Oui, je sais, vous avez vérifié déjà deux fois si vous étiez bien sur mon blog, je ne vous ai définitivement pas habitué à ça.

Le site du dernier rang étant dans un coma profond, voici l’article en question, au titre pompeux et à la plus faible teneur en alcool des billets de ce blog !

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• Concevoir un bon formulaire
• Vérifier les données côté client
• Informer l'utilisateur
• Annexe : le point sur les méthodes de validation

Sur le web, il est fréquent d’avoir recours aux formulaires, aussi bien pour mener une recherche que pour entrer et modifier des informations. Les données saisies par vos visiteurs sont dans ce cas mises en relation avec la partie applicative de votre site, l’exposant à certaines failles ou défauts de fonctionnement. Ce caractère critique implique une vérification de toutes les données saisies par vos utilisateurs, aussi bien pour éviter les maladresses que pour déjouer les tentatives d’intrusions ou d’altération du système.

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Après la nouvelle de l’été indien, et parce qu’on ne peut pas dire que je sois très productif en ce moment, je vous propose ma participation à la nouvelle du rude hiver, dont vous trouverez là encore l’énoncé sur le forum HFR.

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L’an dernier, j’organisais la première soirée d’anniversaire collaborative, placé sous le signe du dossier. Vous aviez réagi nombreux, avec verve et verge ou vagin.

Entre temps, j’ai perdu l’un de mes plus fidèles acolyte de picole / dossier / défis à la con en la personne de Pierro, immigré étasunien mais néanmoins diablement chevelu. C’est moche, et d’aucun y verraient un rapport avec le nombre peu élevé cette année de billets sur le thème de hier soir, j’étais encore chargé comme une mule lorsque....

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J’ai proposé il y a quelques temps à ma consœur critique (dont le site est tout comme elle en attente de connexion à l’Internet Planétaire suite à déménagement) un petit concours, non pas de cul-sec ou de mesure de parties intimes – ç’aurait été trop facile – mais de prose. Vous en trouverez les règles, ainsi que les textes des différents participants, sur le forum Hardware.fr. Je ne résiste cependant pas à l’envie de vous en copier ici l’introduction, les modalités étant détaillées dans le sujet idoine.

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Il m’arrive - quand il fait beau, que je n’ai pas trop mangé le midi, que j’ai des sapes de sport propres et que les cycles lunaires sont favorables – d’aller courir. Mes solitaires et plus fidèles lecteurs auront déjà remarqué que je participe même occasionnellement à des courses. Des vraies, avec des gens entraînés en petit short et des doses d’adrénaline en bouteille sur la ligne d’arrivée.

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Vous connaissez peut-être la théorie selon laquelle toute personne sur cette planète est métaphoriquement parlant à six poignées de main d’une autre, au maximum. Si ce n’est pas le cas, je vous invite à lire l’article associé sur Wikipédia, ou à visionner le film du même nom (vous y trouverez d’ailleurs un Will Smith plus gay que jamais, ce qui ne gâche rien).

À l’heure où la série Lost exploite le filon au maximum et où Facebook vous met devant le fait accompli, on ne se rend pas forcément compte des implications de cette thèse aux apparences anodines. C’est là que j’interviens, voici mes déductions sur ce qu’occasionnent six degrés de séparation.

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Je profite de la sortie de la version finale de Dotclear 2.0 pour donner un coup de jeune à ce blog. Ça fait un moment que je songe à en modifier la présentation, c’est maintenant chose faite avec un nouveau thème maison (pour le moment aussi nu que votre serviteur en fin de soirée, quelques ajouts cosmétiques devraient rapidement faire office de cache-sexe électronique) qui s’accompagnera au fil du temps d’une mise à jour des anciens billets.

Et pour bien marquer le coup, le patron vous propose également un changement d’enseigne. LeRiton, sa vie, son blog ! devient donc Les écrits sous pression, je vous laisse le soin de comprendre pourquoi.

Le changement de moteur et d’hébergement impose cependant quelques inconvénients. Ainsi, les anciens liens et favoris que vous utilisiez peut-être ne seront certainement plus valides, de même que le flux de syndication. Merci de mettre à jour en conséquence donc.

J’en profite enfin pour répondre un cinglant zut aux délateurs qui charrient ma vie plus rangée de ces dernières semaines – induisant peut-être mon manque de publications ici même. C’est sur eux que je vomirais en premier lors de ma prochaine cuite.

À suivre : de quoi répondre plus que zut ?

Parce qu’il y a après tout d’autres choses à voir sur Internet que mon blog (si si, je vous assure), parce que ça vous montre que je ne suis pas mort et parce que finalement, c’est monnaie courante au sein de la blogosphère, voici un petit billet sous forme d’une liste de liens.

• Un petit guide de survie à l’attention du novice d’Internet, retrouvé par hasard, que j’avais lu il y a quelques années et qui déjà à l’époque, m’avait bien fait marrer.
• Le blog d’un illustrateur (entre autres activités) un peu dans son monde, très mignon, sensiblement barré et superbement réalisé. Et qui m’a fait découvrir, par la magie d’un lien fébrilement cliqué un soir d’insomnie, une communauté d’artistes graphiques des plus intéressante.
• La sortie de Firefox 3, et l’occasion de battre un record du monde sans bouger de son canapé / fauteuil / transat / Fatboy (do want).
• Trainoo.com, un site de suivi d’entraînements sportifs à vocation communautaire.

À suivre : mue.

Attention ! Dans ce billet, on aborde la problématique trop souvent voilée des mécanismes de séduction en usage chez l’autre peuple de l’herbe. Des références multiples vers Freud, Lost, Darwin ou encore Œdipe étayeront le propos, aussi merci d’éloigner le jeune publique des paragraphes qui suivent.

J’ai eu il y a peu de temps, avec une jeune balaenoptera musculus de ma connaissance, une discussion fort docte à propos de la sexualité de certains Schtroumpfs. Entre autres hypothèses évoquées, l’homosexualité sous-jacente du Schtroumpf Coquet nous paraissait suspecte sans un – voir plusieurs – partenaire pour l’assouvir. Qui était la tapette refoulée des petits hommes bleus ?

Cette question en ayant amené bien d’autres, je présente ici le résultat de mes recherches au sujet de la sexualité des enfants de Peyo.

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Une fois n’est pas coutume, je m’en vais faire un peu de pub pour un site, très technique qui plus est. Le fait qu’il soit tenu par un pote n’a bien entendu pas influencé la rédaction de ce billet…

Reptou.net Telecom-Reseaux aborde la ToIP sous divers aspects aussi bien théoriques que pratiques. La ToIP Cisco y est traitée en détail, mais certains articles sont plus génériques. N’hésitez donc pas à y jeter un œil si vous êtes en quête de ressources sur ce sujet assez peu traité sur les sites francophones. Vous pouvez également participer plus activement au débat grâce au forum.

Mise à jour : reptou.net est devenu telecom-reseaux.net, avec de plus un léger ajustement sur la cible.

À suivre : Edhec.

Toujours dans mon optique de masquer le peu de billets de ce début d’année, j’enchaîne avec une citation. Ça fait un bail.

Celle-ci n’est pas de moi, mais d’un baleineau vraisemblablement bien plus porté sur la prose que sur le jeu d’acteur. Vous aussi donc, regardez vos collègues dans les yeux - pas tous en même temps, vous allez loucher et perdre toute crédibilité sinon - au café et déclamez leur :

Nul ne peut arguer de sa propre turpitude.

Oui, ça claque. Pour ceux qui, comme moi, se sentent un peu perdus parmi tant de termes inhabituels, vous pouvez aussi dire quand on est con, on est con. C’est plus basique, mais c’est la même chose, et vous pouvez toujours faire passer ça sous couvert cinématographique.

À suivre : les trois, c’est prévu oui.

J’ai eu cette réflexion (vous allez voir, vu le niveau, réflexion est très pompeux) ce matin dans le métro. Le soleil se lève à l’est, ce qui a donné son nom au Japon il y a quelques temps déjà, à la base du point de vue géographique de la Chine. Cependant, si on change de référentiel pour, mettons, les États-Unis, le pays du soleil levant – donc directement à l’est de l’intéressé – se situe en Europe, prenons au hasard la France.

Nous habitons le pays du soleil levant des États-Unis. Et dans une envolée lyrique caractéristique des matins difficiles (et de leur état mental fébrile agité de soubresauts caféiniques), je tenterais d’associer cette idée à une métaphore sur les relations humaines. Nous pouvons être à la fois les héros et ennemis de quelqu’un. Vous pouvez être cités en exemple par certains et décriés par d’autres. Je peux être le pays du soleil levant du Japon.

Non ? Il faut vraiment que j’aille me recoucher.

(Ce billet, plus qu’une théorie novatrice ou un regard nouveau sur le monde, est en fait une tentative – minable, on est tous d’accord – de palier à un cruel manque de mise à jour de ce blog ces derniers temps. Je vais essayer de me rattraper prochainement.)

À suivre : les trois, on y croit !

Suite à l’invitation envoyée il y a quelques temps pour fêter ma maturité, j’ai reçu des réponses à la pelle. Merci donc en premier lieu à tous ceux qui ont répondus, puis à ceux qui seront présents, et enfin à ceux qui ont dûment rempli le modèle de réponse. C’est grâce à eux qu’une fois n’est pas coutume, je vous livre un billet dont je n’aurais pas rédigé grand-chose.

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J’m’en souviens pas. Ça devait être terrible !

Riton, date indéterminée, 2007

Certains se souviennent peut-être d’une soirée de décembre 2006 toute en contradiction. Le temps était froid mais l’atmosphère torride. Nous étions une bonne quarantaine mais beaucoup de rapports intimes se sont déroulés. J’étais (je le suis, je le reste, je vous emmerde) célibataire, et pourtant ce soir là lié à tout jamais avec l’ours GrosBichon et mon désormais célèbre, incontournable et néanmoins immaculé slip. Accessoirement, je prenais une année ce soir là.

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Le caractère sacré du chiffre 7 est souvent évoqué. Les sept doigts de la main, les sept continents, les sept nains… Voilà maintenant sept jours que je fais la fête non-stop pour – coïncidence troublante – clôturer mes sept années de vie étudiante. Oui, je sais, théoriquement, je devrais donc être docteur. De ce côté, c’est raté.

Nous approchons de la fin, reste le plus difficile, l’apothéose de ce projet, l’Everest de tout Gros 2000 : le WAD, pour Week-end des Apprentis Diplômés.

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Selon l’Académie française, le procédé de désintégration (nucléaire tant qu’à faire) évoque la destruction spontanée ou provoquée du noyau d’un élément chimique, qui se transforme en d’autres éléments de masse atomique plus faible, avec libération d’énergie sous forme de radiations. Bien que les étudiants aient abrégé le terme et lui aient troqué le s contre un z du plus pur effet djeuns, il subsiste tout-de-même quelques similitudes troublantes entre les deux concepts.

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Les évènements les plus importants au monde en terme de fréquentation sont les suivants :

1. Carnaval de Rio
2. Fête de la bière à Munich (Oktoberfest)
3. Ferias de Pampelune

Pour ce qui est des ferias, j’ai un peu d’expérience, même si les neuf jours de Pampelune ont ce petit goût de tentation qu’on ne saurait refuser toute une vie. J’ai déjà moins d’attirance pour le Carnaval de Rio, ne pratiquant ni la samba ni la sodomie. Reste l’Oktoberfest qui, depuis des années, représente l’eldorado des évènements inaccessibles, principalement à cause d’une programmation peu avantageuse pour les étudiants. Cette contrainte dépassée, je ne pouvais me résoudre à attendre une année de plus…

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La consommation moyenne d’alcool par Français et par an est de 12.7 litres (source INSEE). Et comme les plus jeunes – le but avoué du week-end étant de les rendre moins innocents – font furieusement baisser ces statistiques, les anciens se doivent de faire remonter le niveau. Jusqu’à la glotte et au-delà.

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Le paysage défile à travers la fenêtre du RER. Devant ce décor propice aux meilleurs prologues, je pose un regard vide, la bave ne manque que pour des raisons qui seront expliquées plus en détail tout à l’heure. Ceux qui ratent leur arrêt se sont la plupart du temps endormis. Dans mon cas, c’est juste que le cerveau n’est pas branché. Et c’est comme ça depuis une semaine.

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J’ai obtenu mon bac en 2000. Et même si je n’ai pas attendu de quitter le lycée – ni même le collège – pour dissoudre mon honneur dans le stupre et la débauche, force est de constater que les études supérieures, bien que pompeusement nommées, se positionnent un bon cran au dessus. Taille XL, le cran.

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Mon dernier topo cinématographique commence à dater un peu. Pour me faire pardonner, voici mon point de vue précoce sur la suite de 28 jours plus tard, dont le nom laisse imaginer que de l’eau – ou du sang, c’est selon – est passée sous les ponts.

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Et oui, voilà aujourd’hui deux ans que j’étale mes aventures ici. Le rythme a beaucoup ralenti (91 billets la première année, seulement 23 la seconde) mais la longueur – et la qualité je l’espère – des articles a suivi la logique inverse.

23 billets donc, pour un total de 43 774 visites contre 59 818 l’an passé. Et oui, je suis conscient qu’il y a toujours autant de bots. Je ne peux m’empêcher de revenir en arrière, sur mes prévisions de l’an passé. Après tout, c’est aussi l’heure des bilans en ce moment.

À quoi s’attendre pour l’année à venir ? Moins d’alcool et de cuites ? Plus de romance, des articles de fond sur la politique peut-être ? Sauf revirement de situation inattendu, je pense rester dans mon créneau : alcool, fêtes, recettes improbables et navets cinématographiques. Je me plaindrais sûrement une fois ou deux, forcément.

Force est de constater que j’ai tenu parole. Mais quid de l’année à venir ? Un nouveau look accompagnera la sortie tant attendue de DotClear 2, mais pour le reste, on ne change pas une équipe qui gagne. Je dirais même qu’il y a du lourd sur le feu, à suivre prochainement si je récupère le net…

Une fois de plus merci à mes rares, mais néanmoins fidèles lecteurs. C’est après tout grâce à eux si j’ai quelque chose à raconter.

À suivre : la fin d’une époque.

Peu des nouvelles en ce moment, la faute à mon déménagement, aux ferias et surtout à une grosse crise de flemme. On va donc faire court aujourd’hui. Il y a quelques temps, je vous avais présenté mes résultats sur un test de pureté. A l’époque déjà, ça n’était pas brillant.

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Suite à un énième repas en compagnie des Gros 2000, l’idée nous – Sacoche et moi-même – est venue d’un petit jeu à boire. À la fois simple et très con, donc dans la plus pure tradition du cru. Voici donc pour vous les règles des Bières Musicales.

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On en trouve à partir de 20 €. Il faut les remplir à chaque utilisation, il est plus sain de les vider ensuite. On peut s’y mettre à plusieurs, bien que ce plaisir soit autorisé en solitaire. Selon les goûts de chacun, on y appose une grille ou une broche.

Vous aurez compris que le thème de ce billet serait le barbecue, mais pas celui de papy et mamy au Camping des Étourneaux. Comme tous les ans, les IG2K et quelques extérieurs étaient conviés à fêter la fin des cours, l’arrivée de l’été ou simplement le fait de pouvoir faire la nouba tout le week-end chez Revz, l’hôte d’un des événements de l’année les plus extrêmes.

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L’été arrive, c’est la saison des défis. Impossible de savoir comment celui-ci est parti, mais la difficulté est à hauteur de l’enjeu. Jugez par vous-mêmes, un poème contre une excitante et intrigante photo.

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Je l’ai déjà évoqué dans ces lignes, notre école participe à de nombreux événements. Sans pour autant les gagner, notez. On retrouve cependant une constante, qui a fait notre réputation au fil des ans : l’animation, voir dans notre cas, une propension assez phénoménale à coller un bordel monstre partout où on passe.

Ce week-end, nous avons appliqué notre méthode à la coupe de robotique, que l’on pourrait considérer à tort comme un lieu de sérieux et d’étude. Fallait pas nous inviter.

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Là, c’est vraiment du je raconte ma vie, mais ça m’a tellement fait marrer que je n’y résiste pas. Je suis dans ma douche, pressé parce que je pars pour un week-end que je ne manquerai pas de vous raconter.

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Ça fait un certain temps que je n’ai pas donné de recette maison, si bien que d’aucuns se sentent pousser des velléités d’hégémonie dans un domaine où, autrefois, je régnais sans partage. Qu’à cela ne tienne, je reprends le flambeau avec ce billet, un cocktail qui fleure bon les beaux jours, et leurs après-midi de glande sur chaise longue.

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De la merde pour ça, et pour le reste aussi...

À suivre : un peu moins de la merde s'il-vous-plait.

Ça fait longtemps que je n’ai pas raconté ma vie. Les beaux jours étant revenus (et repartis, mais passons), l’entraînement a repris de plus belle. Oui l’entraînement, souvenez-vous, il m’arrive de courir.

Au programme donc ce week-end, semi marathon de Troyes, fraîchement équipé du module Nike + iPod (flash requis). L’objectif est de battre mon temps de l’an passé, à savoir 1h58. Et survivre.

Petite aparté : celui ou celle qui m’indiquera comment consulter un compte NikePlus public gagne un billet sur ce blog racontant sa vie. C’est quand même pas rien…

À suivre : résultats, bilan de santé, chargez à 300, on dégage…

J’étais prévenu depuis des éons. Aucune excuse valable, et pourtant, je n’ai rejoins la joyeuse troupe des participants à la Course Croisière Edhec que le vendredi d’une semaine déjà bien entamée. Ou comment se priver de 4 jours de sport (un peu), beuveries (beaucoup) et d’une ambiance de folie (passionnément, voir plus).

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Previously on LeRiton : sa vie, son blog !, j'évoquais non sans une certaine nostalgie (et un peu de honte il faut le reconnaître) le périple qui nous mena à Isola 2000. Alors oui, on peut parler d'échec, de malchance, ou de crise aiguë et contagieuse d'incompétence de pilotage. Qui a dit qu'on était plus doués sur des skis ?

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Tous les ans à la même époque (à une semaine et des bananes de latence de rédaction près), je narre dans ces lignes les tribulations des informaticiens au ski. Ce blog n'étant ouvert que depuis l'an dernier, on se référera donc à l'unique billet sur ce sujet, et on fera un effort pour en faire une généralité. Notez tout de même en préambule de fâcheuses tendances des protagonistes aux organisations de dernière minute, et aux situations mettant en péril leur intégrité physique.

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Vous avez déjà pu le constater dans un précédent billet, je suis loin de vouer un culte à Superman. La faute en revient peut-être à une garde robe douteuse, ou à des souvenirs aigris de mes tentatives d'envols infructueuses (enfant ou saoul, c'est au choix). Toujours est il que, plein de recul et d'ouverture d'esprit, j'ai accepté de visionner Superman Returns. Que je sois l'un des instigateurs de cette idée – mauvaise, mais assumée – n'a que peu d'importance.

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À cette époque l’an dernier, j’avais dressé un bilan en demi teinte, où l’échec côtoyait une motivation surréaliste pour 2006. Vous avez pu suivre dans ces lignes mes tribulations, les habitués savent donc que les derniers mois n’ont pas manqué d’amener leur lot de souffrances et de bons moments (liste non exhaustive, je me suis bien marré en parcourant les billets de cette année).

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Les repas de Noël, chez les Riton comme chez beaucoup de personnes, c’est beaucoup de bruit, une quantité de bouffe au moins deux fois trop importante et au bas mot le double d’alcool. Forcément, arrive un moment où les esprits vagabondent vers des idées encore inexplorées. La citation d’aujourd’hui reviens à mon alter ego familial, j’ai nommé Louloute, sœur de votre serviteur de son état. Accrochez-vous, c’est du Audiard à la sauce champenoise :

Le foie gras, c’est bon dans la bouche mais ça pue des pieds…

Mais oui mais oui !

Joyeux Noël à tous, cuvez bien !

À suivre : et bonne année !

Ça fait longtemps que je n'ai pas critiqué un navet dans ces lignes. La faute à un surplus d'activités le samedi soir et à une borne DVD trop peu fournie dans ce genre (on commence à avoir fait le tour). On se rabat dans ce cas sur les stocks personnel, et le doigt du destin c'est ce soir là pointé sur Furtif (hurlements de désespoir de ceux qui espéraient voir un film potable et cris de joie de la part des amateurs de nanards).

Je vous en fait un pitch : film américain (aïe !) de Rob Cohen (ouch !) où l'on suit les mésaventures de 3 pilotes de la Navy qui intègrent un quatrième équipier un peu particulier, sous la forme d'un avion piloté par une intelligence artificielle. Un habile croisement entre Les Chevaliers du Ciel et K2000 ?

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D'avance pardon aux esprits cartésiens qui liront ce billet, je m'en vais donner un peu de crédit aux phénomènes d'évolution évoqués dans les X-Men et autres Heroes. Tout – les événements que je vais relater en tout cas – porte à croire que l'Homme acquiers certaines capacités métaphysiques, en l'occurrence le don de divination.

Vous l'aurez compris, je vais vous révéler la découverte d'une faculté unique que j'aurais développé, autre que l'absorption d'alcool. Je sais, à moi aussi ça a fait un choc…

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Je le répète à longueur de semestre depuis près de trois ans maintenant, les études durant ces six mois ne laissent que peu de place à une vie extra-ordinateurale (le terme extrascolaire étant trop restrictif, la fac' n'est ouverte que 13 heures par jours). Les loisirs et autres moments de détente ont donc lieu pour la plupart en cours.

Le FANTON Project s'inscrit dans cette démarche, ne pouvant décemment pas se prévaloir d'un quelconque courant artistique.

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Depuis quelques années maintenant, les personnes méritantes autour de moi se voient octroyer des points. Sans plus d'informations que cela. Il est temps de lever le voile et poser les bases de ce mode de vie (rien que ça).

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Et oui, on y pense jamais, mais Superman… C'est une sacré chochotte quant on y réfléchi. Je m'explique : monsieur joue les fiers parce qu'il ne ressent pas la douleur, donc je passe dans les flammes, j'arrête des bus d'écoliers à mains nues et autres joyeusetés. Très bien, la classe, rien à redire.

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Je vous propose ce soir la recette de cocktail la moins alcoolisée depuis la création de ce blog. Ceux qui y verraient un changement d'orientation s'exposeraient à de graves désillusions. Cette recette est une adaptation du divin breuvage qui nous - les gros troyens - était servi au Bistrot, le bar qui nous faisait office de résidence principale avant le passage au second millénaire. Si cette introduction très exclusive ne vous a pas fait quitter cette page, c'est que vous êtes prêts à faire connaître à vos papilles l'extase made in Riton. Tout un programme.

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L'homme est capable de choses complètement folles : performances sportives, inventions tordues ou encore boire du Viandox. Et comme on le constate souvent dans les films catastrophe étasuniens, c'est dans l'adversité que tous ces talents se dévoilent, dans un panache – n'ayons pas peur des mots – d'explosions, d'amis sur le point de mourir et d'avions miraculeusement redressés par de pures novices en la matière. Aujourd'hui un exploit qui ferais passer les points précédents pour de l'enfilage de slip avec une seule main, j'ai nommé Riton sous les effets de l'alcool (original n'est ce pas ?).

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Aujourd’hui 28 août, j’annonce non sans une certaine fierté le premier anniversaire de ce blog. Fier parce que mine de rien, et à la vue du travail que j’ai eu tout au long de cette année (apéros inclus), j’ai quand même réussi à pondre quelques billets plus ou moins régulièrement.

Pour un premier bilan, je totalise 59 818 visites. Donc même si les mauvaises langues diront que 50 000 me reviennent, ça fait toujours 9 000, et toc. Ce billet sera le 91^ème, une rapide division me donne ainsi une moyenne d’un peu plus d’une bafouille tous les 4 jours. Je m’attendais à bien pire.

À quoi s’attendre pour l’année à venir ? Moins d’alcool et de cuites ? Plus de romance, des articles de fond sur la politique peut-être ? Sauf revirement de situation inattendu, je pense rester dans mon créneau : alcool, fêtes, recettes improbables et navets cinématographiques. Je me plaindrais sûrement une fois ou deux, forcément.

Merci à ceux qui me lisent de temps à autre, à ceux qui postent un commentaire ou rectifient mes erreurs, à ceux qui donnent des idées de rédaction ou qui font que j’ai tant de choses à raconter. Vous l’aurez compris, c’est un peu ma remise des oscars là…

À suivre : bin le 92^ème, forcément.

À l’heure où les médias s’acharnent à évoquer les viols et agressions – que l’on ne doit excuser pour autant – ayant eu lieu durant ces 5 jours mémorables, mais pas forcément bien mémorisés, il est de bon ton de dresser mon propre bilan, beaucoup plus joyeux même si légèrement en retard.

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Une petite recette, ça faisait longtemps. Cette fois, pas de cocktail à vous pourrir le foie et l'œsophage. Cependant des dommages sur l'organisme sont a prévoir si vous suivez mes directives.

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L'aurore. Réveillé à 6 heures par la chaleur, le calbute trempé. D'habitude, l'humidité à cet endroit est due à quelques rêves au contenu interdit aux moins de 18 ans – quoique même Marianne James me fasse de l'effet en ce moment. Ces jours ci, c'est la température excessive qui est en cause, et mes dessous intimes ne sont pas les seuls à souffrir.

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Pendant toute une nuit en France, on célèbre sans retenue la musique sous toutes ses formes. Ça, c'est ce que vous dites à votre patron pour faire passer votre mine déconfite pour une forme d'amateurisme d'art. La vérité est toute autre : 78,15 % (estimation pas du tout fiable faite à La Rache) des participants à la Fête de la Musique passent leur temps à marcher et, dans le meilleur des cas, à boire.

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Il est des plans que l'on ne peut concevoir sans une certaine dose de folie. Dans le cadre d'un projet professionnel, cette notion découle du manque de compétence ou d'un chef ambitieux (normal, il va rien foutre lui). Pour ce qui est des soirées, c'est autre chose : ce qui ne semble pas réalisable sur le coup peut mener à l'ultime nuit de folie - souvenez vous de Début de Soirée - qui entrera dans la légende, et que les participants évoqueront des siècles durant avec une larme à l'œil et une dose de nostalgie teintée de respect.

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Un billet éclair pour signaler l'évidence : le blog a une nouvelle tête ! Ça devenait nécessaire, le blanc étant quand même un peu fade pour parler de vomit et de peinture abstraite (prochainement… ou pas).

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Les soirées bien arrosées, c'est un peu comme tirer un laideron pour l'entretien (la formule est un brin misogyne, je vous le concède) : pendant, on est trop content, mais le lendemain, on regrette amèrement.

Je suis trop attaché à la boisson - et aux laiderons ? - pour regretter quoi que ce soit ce matin, mais l'état de forme général traduit tout de même une légère envie de mettre fin à mes jours pour abréger mes souffrances.

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Un petit hors-sujet pour commencer : je n'ai pas donné de nouvelles après le Wolf Tour 2006 car il est difficile pour moi de faire plus de 3 lignes de variations sur les thèmes de l'urine et de l'alcool (encore que). Mais ça s'est très bien passé !

Aucun rapport, je suis allé voir The Da Vinci Code (c'est dingue ce qu'on peut faire quand on à l'équivalent du poids d'un bébé en bouffe chinoise dans l'estomac). Résultante - quasi - immédiate : un nouveau billet dans les critiques / coups de gueule !

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Tous les groupes musicaux partent en tournée, ou alors ils sont mauvais / fauchés / morts. Profitant d'un week-end rallongé, de la disponibilité d'un camion suffisamment spacieux et de l'hébergement d'un pote inconscient, et faisant fi de notre statut de non-musiciens, nous partons pour Romans dés samedi matin.

Riton vous présente en exclusivité sur le net le Wolf Tour 2006 !

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Comme ce vendredi est parti pour être culte et exemplaire au niveau de l'assiduité et de la productivité, j'ai décidé d'en reporter les faits marquants. Les heures sont tout ce qu'il y a de plus approximatives, mais résument bien le parcours général.

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Encore une idée à la con. Un pote (pas très sain lui non plus), m'a proposé un petit test sur le site Griffor. Ce test vise à déterminer votre taux de pureté selon 3 critères principaux : boissons, drogues et sexe. Plus le score est élevé, plus vous êtes dépravé et vil.

Le résultat se passe de commentaires :

Votre score est de 250 point(s).

• Statistiques :
• Pourcentage de réponses positives : 72 %
• Réponses positives sur les boissons : 100 %
• Réponses positives sur les drogues : 50 %
• Réponses positives sur le sexe : 72 %

Vous vivez votre vie à fond les bananes sans peur du lendemain ! (Un score qui vous donne le droit de clamer votre impureté à l'assistance )

Je n'ai malheureusement même pas l'excuse d'avoir triché. Et ce 100 % pour les boissons qui me rappelle ma piteuse condition…

À suivre : changement de peau ?

Vous le savez, j'en parle depuis maintenant quelques temps à chaque nouveau billet, nous sommes – pauvres apprentis - en séquence professionnelle en ce moment. L'occasion de redécouvrir le monde de l'entreprise, car il faut bien avouer que 6 mois de cours ont une forte tendance à faire oublier l'essentiel.

Et par essentiel, j'entends bien sûr l'apéro !

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Samedi soir, pour sa désormais traditionnelle fête dite du Je lâche la maison de mes parents et je prie pour que les murs et meubles tiennent, Wakouille nous avais donc convié pour son anniversaire. Béni soit-il, nous avons fait le maximum pour honorer ce geste.

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Comme évoqué dans les billets précédents, depuis la fin des cours pour les apprentis (début de séquence pro, le bonheur), nous avons enfin retrouvé une vie sociale. Ceci inclus des choses complètement démentes, telles que sortir le soir, aller manger entre potes ou faire du sport. Oué, je sais, on brûle vraiment la chandelle par les deux bouts avec ce bouchon qui est décidément trop loin, Maurice.

Dans cette optique aie une vie, mais surtout aime en parler au boulot au lieu de bosser, je vous propose aujourd'hui Riton apprend la guitare.

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Chose promise, chose due : des petites anecdotes croustillantes et compromettantes sur cette semaine ma foi riche en émotions fortes. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé…

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Je vous parlais dernièrement d’une dernière semaine en cours plus proche de l’apocalypse que la majorité des films de Max Pecas (paix à son âme). Cette dernière achevée, nous partîmes – moins de 500, mais quand même - sans demander plus de sommeil pour une semaine à Morillon, station du récent champion olympique de descente Antoine Deneriaz. Un programme prometteur, surtout compte tenu du fait que le trajet n’a pu se faire que grâce à un sponsoring aigu de Guronsan et que les courses ont été bouclées en une heure par deux personnes aux compétences douteuses en la matière.

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Dans le calendrier chrétien, pâques correspond à la date de résurrection du christ. Soit. Pour nous, la résurrection aura lieu dans 4 jours, et on ne va pas ingurgiter que du chocolat…

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Et voilà, toujours peu de temps... Juste assez pour vous donner une idée cadeau (dans l'absolu pour moi).

Vous trouverez sur le site de la fraise de bien jolis T-Shirts. Accessoirement, si vous achetez quelque chose à partir de ce lien, je gagnerais des points. Vous me faites plaisir en vous faisant plaisir quoi (c'est pas sale, rassurez vous).

À suivre : week-end sympa...

Il n'a pas tort Amrael :

• Pourquoi tu poste plus sur ton blog ?
• T'es con ou quoi ? T'as cru qu'on avait le temps ? Les projets, et blablabla…
• Bin oué, mais tu met juste que t'es toujours vivant. Et que tu codes. Comme ça nous, on peut mettre des commentaires à la con.

Donc voilà. Je ne suis pas mort, juste coincé sous une armoire normande de taff. Je posterais rarement, et souvent court (cvb !). C'est tellement plus sain, ça permet à mes confrères de se lâcher…

À suivre : sponsoring.

Comme à l'accoutumée lors d'une soirée chez moi, mes hôtes sont invités a laisser leurs impressions. Confection de makis japonais par GDF-senseï, touS un programme.

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Il est des mots qui font réfléchir, qui vous prennent aux tripes. I have a dream de Martin Luther King Jr, Imagine de John Lennon ou encore La Merguez Partie des Musclés. Pour côtoyer ces géants, je vous propose une citation de Georges Courteline, qui démontre avec brio le bien-fondé du p'ti dernier pour la route :

Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu.

J'ajouterai qu'il en est de même pour ce qui est du goût. Non, vraiment, il serait dommage de s'en priver.

À suivre : do, ré, mi...

Samedi 14 Janvier. Environ 22h, naissance de Lila, 1^er bébé du 10 Crew. Le bébé est en bonne santé, les parents sont toujours aussi cinglés. Finalement, peu de choses ont changé.

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Mes joyeux compagnons d'infortune auront remarqué mon auguste absence durant ces derniers jours. Cet arrêt maladie (sic) était simplement dû à un séjour bref mais intense dans le Jura, pour un week-end de snowboard. Oué je sais, quel enculé celui là, blablabla... Attendez la suite.

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Dans l'optique j'ai pas cours, et donc je matte des films toute la journée, aujourd'hui, je re-visionne Equilibrium, un pseudo film d'anticipation à la sauce Matrix.

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Peu d'originalité, mais on va me dire que je suis malpoli sinon. Bonne année à tous, joie, bonheur, fric, femmes / hommes faciles... La totale quoi ! Pour fêter ça, un petit truc qu'on trouve un peu partout sur le net, mais que j'ai trouvé sympa : une bonne année dans toute les langues du globe.

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Bon, il est un peu tôt pour le dresser, j'ai même de peur décidé de ne pas sortir avant ce soir pour éviter les malheurs.

Voici quand même, en vrac, mon petit bilan 2005 :

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Le monde de la musique est une véritable jungle, comme en témoignera dans peu de temps la jeune Magalie, fraîchement promue nouvelle gloire de la chanson française par notre bien aimée Star'Ac (honte sur nous). Cependant, il est encore quelques talents qui luttent contre ce flot de mièvreries, des esprits libres qui nous abreuvent de leurs vibes musicales telles des oasis dans ce monde de sécheresse artistique. La Bouli Connection est de ceux là.

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Peu de nouvelles, beaucoup de boulot, pas de temps...

Tout cela va changer dés demain. Beuverie entre potes de l'école pour célébrer dignement la fin de l'année, puis vacances, ou ce qui en restera après les révisions pour 8 partiels et 3 projets. Bientôt plus de nouvelles, en attendant, dawaaa !

À suivre : cuite, début des vacances ?

Vous me connaissez tous sous le pseudo de Riton, ou encore LeRiton. C'est un fait, ça ne se discute même plus. Et bien si. Quelques irréductibles tentent d'apposer leur marque sur ma griffe (quand je parle de marque, je n'évoque pas les marqueurs, c'est une autre histoire). Histoire de rire et de leur faire plaisir, je tente un recensement des surnoms qui m'ont étés affublés. C'est pas glorieux...

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Jeudi Midi. Sous la houlette de nos chers troisièmes années (qui sont des crevettes, vous verrez plus loin), nous nous retrouvions tous pour un petit resto / karaoke de fin d'année. J'avais cours à 16h, ce qui me laissait largement le temps. C'est ça ouai...

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Pas de nouvelles depuis trois jours. C'est normal, je suis passé en mode codeur autiste. Ce soir ne faisant pas exception à la règle, je ne m'étendrais pas trop sur le sujet. Promis, demain, je vous raconte à quel point un petit resto le midi peut dégénérer et faire perdre une journée de taff.

Sur ce, il y en a qui bossent...

À suivre : les vieux ne sont plus ce qu'ils étaient.

Non, je ne suis pas plus à la masse que d'habitude. C'est juste le nom - ringard à souhait au demeurant - d'une petite recette dont je m'apprête à vous donner le secret. Vous constatez que ma générosité est sans limites...

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Enchaîner les cours et les projets pour ne finalement voir que peu de monde, c'est déjà la galère. Mais quand en plus, on doit se cogner un exam' d'anglais (voir mon billet précédent) le samedi, ça devient carrément du pétage de plombs. Donc zou, on prend le train et on rentre à Troyes pour moins de 24 heures. Pour ce qui est de la nutrition, les choses sont ce qu'elles sont.

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Don't move, you're with Riton. But why in english? Well, you know the FCE? No? How lucky you are. It means you're gonna sleep tomorrow.

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On est mercredi soir (bon, OK, jeudi très tôt, je suis à la bourre), et comme tous les mercredi soir, mon ami Reptou me fait l'honneur de son auguste présence. À croire qu'il se passe quelque chose de louche.

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C'est pas de ma faute. Je dirais même que j'ai un maximum d'excuses. Pour vous situer, samedi soir dernier était organisé l'anniversaire de mon binôme de labeur, j'ai nommé Rep. Bon, j'étais un peu éméché. Mais comme je l'ai dit, j'ai de nombreuses excuses.

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En ce moment, c'est un peu dur. Enchaîner les partiels, les projets... Notre vie se résume un peu au nombre de lignes que l'on réussi à taper sans bug. La lose quoi.

Sauf que le destin (n'ayons pas peur des mots) nous réserve parfois quelques bons moments. OK, je suis un peu théâtral, mais qu'est ce que ça peut bien annoncer de ma part ? Je vous le fait comment ? Pendu, Jeopardy, Pyramide, Chiffre et Lettres ? Les plus perspicaces - ou ceux qui lisent le titre des billets - auront déjà trouvé.

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Pour ceux qui ne connaissent pas encore le principe, une FNC est une nuit entière passée à coder dans le but (illusoire) d'avancer dans nos projets. D'où l'auguste présence de mon binôme adoré, j'ai nommé Rep d'amour.

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Le net, ça sert à beaucoup de chose. Pour preuve, je vais tenter de faire mes courses en ligne, et ce sans rien chercher. Je précise que je n'ai pas un besoin urgent de ces articles, mais si vous avez une bonne affaire, je suis peut-être preneur.

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Je continue sur ma lancée de films de zombies. Pour vous mettre dans l'ambiance, je suggère de boucler sur le titre des Cranberries du même nom. Si vous ne lisez pas très vite, dans un petit quart d'heure, vous aurez une bonne grosse envie de suicide. Essayez le combo farine + eau, c'est très hype en ce moment.

Toujours est-il qu'aujourd'hui, honneur est fait à l'Armée des Morts, un film de Zack Snyder.

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On va faire bref. Comme vous pouvez le constater, il est 5h, et je suis encore debout. Oué, je vous entend déjà, Il est encore rentré bourré chez lui, saloperie d'alcolo, blablabla. Lecteurs de peu de foi... Cette heure tardive n'est due qu'à une intense séance de codage avec mon binôme de ouf.

Et oui, le codage, c'est un peu devenue notre raison d'être. Pour notre plus grand bonheur, ça va sans dire. Pas le courage d'en dire plus, je laisse la parole à celui que est devenu comme mes troisièmes et quatrièmes mains, et plus si affinités, j'ai nommé Rep :

J'en sais rien puuuutain, il est 5 heures ! Joyeux anniversaire Riton. À noter : ce n'est pas du tout mon anniversaire. Nous allons nous pieuter pour fêter ça.

À suivre : dodo...

J'ai évoqué dans mon poste précédent la perte de la chair de ma chair, mon appareil photo. Étant d'un naturel réaliste, je me suis résigné à un oubli ferme et définitif, que je scelle par des larmes de sang (ça me fait un peu chier quoi).

Je vous propose donc d'enterrer cette histoire dans l'alcool, avec une nouvelle citation inspirée d'un classique de la pensée asiatique.

Donne un poisson à un homme, il mangera aujourd'hui, apprend lui à pêcher, il mangera toute sa vie.

Mao. Edit : et non, de Confucius. Merci à Eldi pour la correction.

La citation que je vous propose en découle (c'est le mot) directement.

Donne un poisson à un homme et il mangera une journée. Apprends à un homme à pêcher et il passera ses journées dans une barque à boire de la bière.

Celle-ci est de Marie-Lyse Aston.

Que dire de plus, si ce n'est qu'évidement, je cautionne à mort.

À suivre : un coucou de rep ?

C'est pas qu'en ce moment je les accumule, mais presque. C'est sûr que je n'ai pas à me plaindre, mais je constate comme une espèce de recrudescence de ces petits je ne sais quoi qui donnent envie de crier flûte alors.

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Au bout d'une semaine, j'arrive enfin à trouver le temps de vous parler des zombies, ou plus spécialement des films de zombies. Un genre d'un niveau pour le moins inégal : vous regardez soit une daube infâme, soit une merveille de décalage. Pour aujourd'hui, ça sera plutôt une bonne surprise. 28 jours plus tard, un film de zombies, mais pas seulement.

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Hier soir, 13 personnes se sont faufilées dans mon 19m² pour un apéro pre-bowling. Record d'occupation, le précédent était à 11. Bravo à tous. Pour fêter ça, je leur laisse la parole, ils étaient plus ou moins inspirés hier soir. Les voici par ordre de passage au clavier :

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Ceux qui regardent assidûment Lost, qui attendent avec impatience tous les jeudi le nouvel épisode (et qui sont sur les nerfs depuis 2 semaines), se posent cette question existentielle : qui est Alvar Hanslo ? Et au biais des recherches, les questions s'amassent. La preuve ici : quel est le rapport avec la Star Academy ou Meetic ? Et pourquoi diable son sexe ? La réponse est d'une perfidie sans nom.

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Bim, ça vient de vous sauter aux yeux (ou alors, ouvrez les). À droite dans le menu, une petite rubrique Citations avec une citation aléatoire tirée de ce blog. L'occasion pour moi de citer les différents plugins utilisés ici.

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Pour contrer le spleen inhérent aux examens, je vous propose une nouvelle recette de cocktail de mon invention (si il existe déjà, je veux bien voir le lien !), le shooter flambé au rhum. Âmes sensibles passez votre chemin, ce mélange est clairement à but cuitatif (vérifiez dans votre dico, ce mot n'existe pas, mais oui).

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Rien qu'avec ce titre, je suis persuadé d'en avoir fait rêver plus d'un(e). Souvenez vous, Les Goonies, c'est ce film complètement novateur où une bande de gosse part à la recherche du trésor d'un pirate nommé Willy le Borgne.

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Comme je vous l'ai dit (écoutez un peu), je suis étudiant en région parisienne. Cependant, je ne suis pas originaire de Paris, un vrai provincial, voir un bouseux (pour les parisiens, tout ce qui ne vis pas à Paris est un campagnard). Et oui, la ville qui a vu naître le riton se nomme Troyes, dans l'Aube (10). Prononcez, avec une bonne voix bien bourrue tro, don l'ob'.

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Et oui, regardez ses stats, ça a définitivement du bon. Il y a quelques jours, nous découvrions ensemble Marie Chantal, une femme avide de nouvelles sensations gustatives. Aujourd'hui, voici venir une autre demoiselle, Papotoire.

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Ces derniers jours, j'ai remarqué une augmentation importante du nombre de commentaires. Ils sont pour la plupart très constructifs, à base de baise moi Riton ! ou de t'es qu'un gros con, suce mes boules. Néanmoins, certains éveillent mon attention, de part leur provenance incertaine.

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Devant la vague de soif qui submerge ce monde (mais si, mais si...), j'ai décidé d'inaugurer une nouvelle catégorie : mes fameuses recettes. On ne trouvera pas ici que des boissons alcoolisées, mais il faudrait pour cela que je sache faire autre chose.

Pour l'heure, voici venir le bien connu (et redouté dans mon entourage) Riton Blanc.

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En ce moment, je suis entouré d'ivrognes. C'est triste, mais c'est comme ça. Rien que pour eux, une petite citation de Pierre Desproges :

Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger. De même qu'il faut boire pour vivre et non pas vivre sans boire, sinon c'est dégueulasse.

Je bois littéralement ses paroles !

À suivre : no se.

Le flash, ce matin, après un levé difficile (voir le billet précédent). J'allume la télé, je me cale sur MTV, et bing, j'ai la révélation de la journée (je n'était pas levé depuis 5 minutes).

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Hier soir a eu lieu le traditionnel repas de notre filière au Flam's. Pour ceux qui ne connaissent pas, on y mange principalement des flammekueches, c'est-à-dire des sortes de galettes très fines avec lardons, oignons et crème fraîche. Encore un repas diététique. Et encore une soirée pleine de sérieux.

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Pas de billet hier. Mes facultés de récupérations étant ce qu'elles sont, il aurait été imprudent de s'approcher d'un clavier.

Souvenez vous, je vous avais parlé de ce stupide défi, à base de le premier qui s'arrête de boire fini à poil dans le lac. Hautement intellectuel. Et ce n'était que le début…

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Ce soir, c'est mass mine, un défi totalement stupide à base de Le premier qui arrête de boire fini à poil dans le lac !. Donc forcément, je ne vais pas m'attarder sur le net. D'autres l'on fait pour moi toute la journée, comme vous pouvez l'apprécier dans les commentaires des précédents billets.

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Une citation de plus sur le thème inépuisable de l'alcool. Celle-ci est encore loin d'être fausse à mon sens.

Un alcoolique, c'est quelqu'un que vous n'aimez pas et qui boit autant que vous.

Cette citation est tirée du film Bullit, avec Steeve McQueen. Cultissime.

À suivre : le week-end, ne vous étonnez pas du peu de nouvelles.

L'idée vient d'un cours de management de l'innovation (oui, ça existe). Il nous était demandé d'imaginer une entreprise, un produit ou un service, ainsi que sa faisabilité. C'est là que nous est venue (nous, c'est le gang du fond de la classe) l'idée des Safe Drivers.

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En regardant les stats de mon blog, je viens de me payer une superbe barre de rire. Tout ça en consultant les mots-clés qui pointent le plus souvent vers lui. Le premier, de loin, explique amplement le titre de ce billet.

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Un diplôme d'info et réseau, c'est bien (pour moi en tout cas). Par contre, un diplôme d'info et réseau où on ne fait que de la prog... C'est quand même nettement plus casse burnes (sans vouloir être vulgaire évidement). En ce moment, vous l'aurez peut-être deviné, on est dans la me... Pardon, dans le Java.

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Il y a des choses devant lesquelles les hommes ne sont pas égaux : taille du sexe, résistance à l'alcool, intelligence, force, capacité à ne pas s'énerver devant des flics... Et la mémoire. Étant donné que j'ai tout le reste (...), je vais parler de la mémoire.

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Les cours, c'est intéressant... Ou pas. Donc forcément, pour passer le temps, on aborde des sujets complètement oubliés du commun des mortels. En ce moment, les bruitages à la bouche.

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Une petite citation tirée du Talmud. Certain(e)s diront qu'elle est faite pour moi.

Lorsque le vin entre, le secret sort.

À suivre : squatage party ?

Comme beaucoup, notre (nous, c'est le 10 Crew, je sais, je vous en ai toujours pas parlé) fil rouge est la recherche sans fin du plus gros navet cinématographique que cette terre aie porté. Cette passion nous a déjà mené aux visionnages de monuments tels que Ken le Survivant, le film, Cabin Fever ou encore Les Prisonniers du Temps (mention spéciale pour ce dernier).

Pour le coup, nous avons opté pour Brocéliande, un film français (pas le droit aux films d'horreur en ce moment pour cause de femme enceinte). Les mots me manquent, mieux vaut vous raconter plutôt que de tenter de trouver le meilleur superlatif.

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Dans mon dernier post :

À suivre : peut être rien, grosse bouffe prévue.

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Ça va être bref, parce que je suis plus vidé que les couilles d'un militaire sortant de permission.

Mes résultats

Dossard	Nom	Prénom	Catégorie	Temps	Classement général	Classement catégorie	Classement sexe	Groupe
xxxxx	Le	Riton	SH	1 h 31 mn 16 s	10734 / 18264	5273 / 7248	9946 / 15206	-

En toute modestie (ou pas), je suis très fier de moi. Et toc !

À suivre : peut être rien, grosse bouffe prévue.

C'est toujours les meilleurs qui s'en vont en premier. J'aimais bien la vie sur cette terre pourtant. Je ne sais pas ce qui a cloché, une seconde d'inattention, une grève temporaire de mon cerveau. Toujours est il que je me suis inscrit à la course Paris Versailles, qui aura justement lieu demain.

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Nous en étions resté à la fin d'après-midi. Bon, vous vous doutez certainement de ce qui a suivi...

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Peu de temps aujourd'hui. Je resterais donc sur une citation d'un anonyme, ma foi bien adaptée à ce week-end :

Chassez le naturiste, il revient au bungalow.

C'est con, mais ça me fait rire...

À suivre : la fin, promis, j'essaye...

Vint la première soirée, et là, on part sur du très lourd. Le principe était simple, open bar pour tout le monde, pas d'heure de fermeture.

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Bon, je pense que j'ai déjà assez tourné autour du pot. Le week-end dernier à eu lieu le WEI : Week-End d'Intégration. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il fut agité.

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Toujours trop peu de temps pour décrire ce fantastique week-end. Un petit lien vers ma galerie photo de la fac pour vous faire patienter.

La galerie photo Ig2k (mot de passe requis), désolé d'avance !

À suivre : promi, je vous en parle demain...

Trop peu de force pour parler de ce week-end.

Sublimissime. Moult anecdotes demain. Sur ce, je vais me coucher, ou re-vomir. Voir les deux.

À suivre : truc de ouf !

Aujourd'hui, je vais faire court, préparation de week-end d'intégration des petits nouveaux oblige.

Le programme est simple : 3 jours de fête, avec un peu de sport et énormément de libations pour s'hydrater le gosier (parce qu'on chante beaucoup, c'est évident). Avec plus de 200 personnes inscrites, vous comprenez que les heures de sommeil se font rares (ça ne va pas s'arranger ces jours-ci).

Sur ce, je dois aller préparer la pico… Les ballons et cordes à sauter.

À suivre : le WEI, justement !

J'en ai parlé hier, la rentrée est un fléau qui nous touche tous en ce moment. Pour preuve aujourd'hui, en sus de la présentation des matières de l'année (700 heures en 6 mois, la moitié en Java, de quoi décourager le plus dopé des étudiants), nous avons pu assister avec une joie non dissimulée à 4 heures de probabilités.

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En ce début d'année scolaire, qui s'annonce bien arrosée, une citation de Georges Courteline :

L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés.

Meilleurs vœux de réussite à tous.

À suivre : no sé.

Parce qu'on grandit (vieillit), les choses changent, les personnes bougent. C'est triste, surtout quand c'est pour aller vivre dans le nord. C'est ce qu'a vécu aujourd'hui Le Wolf (comprenne qui pourra), et pauvres de nous, nous l'y avons aidé.

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Le titre est évocateur. La fin des partiels en septembre, un peu bizarre me direz-vous. En fait au lieu d'examens, je devrais plutôt parler de rattrapages. Et oui, un monde s'effondre autour de vous, Riton n'a pas la science infuse ni le don d'omniscience (du moins pas pour la programmation).

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Là, on arrive sur un sujet qui m'énerve vraiment, ceux qui me connaissent savent à quel point.

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De quoi méditer un peu, une citation d'un anonyme ma foi(e) bien éclairé (Illuminé ? Barré ? Bourré ?).

Beaucoup de choses peuvent être préservées dans l'alcool : la dignité n'est pas l'une d'elles.

Je crois que tout est dit…

À suivre : Je vais peut être me plaindre un peu.

En pleine introspection sur ma folle jeunesse, je me tape quelques épisodes du Prince de Bel-Air. Je sais, dit comme ça, ça fait pitié. On peut d'ailleurs se demander où réside intérêt de cette série. Une réflexion sur l'intégration d'un gosse pauvre dans une autre famille ? Non, ça, c'est Punky Bruster. La condition des noirs aux États-Unis ? Non, il y à déjà Arnold et Willy.

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Vous l'avez tous vu, pas la peine de vous cacher. Vendredi dernier, nous avons pu admirer l'un des grands moments annuels du PAF.

Je veux bien sûr parler de la nouvelle promotion de la Star Academy. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il y a du lourd (pas de mauvais jeu de mot).

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Tiré du site officiel : Course de 16 kilomètres, 1^er départ à 10h le dimanche 25 septembre 2005 !

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Voici quelques liens vers les blogs de mes potos. C'est un peu de la pub, mais bon, je suis persuadé qu'ils ferons de même, n'est-ce-pas ?

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3^e billet, et déjà je me plains. Quelle opinion allez-vous avoir de moi ? Je vous met en situation, vous allez comprendre.

Au bureau, vers 8h30 (gueule dans le cul inside), à la recherche d'un document urgent.

• Moi : Luc (nous l'appellerons Luc par charité chrétienne et référence à Stratégie de l'Échec), tu as le fichier x4088v2.zob ?
• Luc : Oué, je t'envoie ça de suite.

... (Silence pesant. Le doute et la peur m'étreignent.)

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Bonjour à tous !

Je m'appelle Riton, ou LeRiton bien souvent sur le net. J'ai 23 ans, ce qui me laisse environ 15 ans d'espérance de vie (l'alcool, ça aide pas, mais je risque d'en reparler souvent).

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Champagne, trompettes et roulement de tambours, le blog est ouvert !

Le plus gros reste à faire, j'espère vous donner des nouvelles fréquemment et surtout avoir de nombreux et fidèles lecteurs !

À suivre : LeRiton se présente.