C'est peut-être un détail pour vous…

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Soirées et évènements
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Gros 2000 alcool bouffe zombie

L'homme est capable de choses complètement folles : performances sportives, inventions tordues ou encore boire du Viandox. Et comme on le constate souvent dans les films catastrophe étasuniens, c'est dans l'adversité que tous ces talents se dévoilent, dans un panache – n'ayons pas peur des mots – d'explosions, d'amis sur le point de mourir et d'avions miraculeusement redressés par de pures novices en la matière. Aujourd'hui un exploit qui ferais passer les points précédents pour de l'enfilage de slip avec une seule main, j'ai nommé Riton sous les effets de l'alcool (original n'est ce pas ?).

Certes, le sujet a déjà été évoqué. Il parait même que certaines personnes qui me sont pourtant totalement étrangères utilisent l'expression boire comme Riton. Soit. J'entretiendrai cette légende, commençons de suite par le contexte.

Nous – les gros apprentis 2000 – sommes au SanZ SanS pour fêter le quart de siècle du dénommé Marco. Première aparté : joie, bonheur, bénédiction et très joyeux anniversaire à l'intéressé, ainsi qu'à GDF l'autre vieux de la soirée, et un coup (à boire pour les mecs, comme vous voulez pour les nanas) gratuit pour la personne qui me donnera la prononciation du nom de ce resto. Une excellente soirée dans la lignée des événements du cru, à savoir alcool, discrétion somme toute relative et mauvaise drague des serveuses. Forcément, on repart tard et pas frais. C'est là qu'interviennent les notions d'exploit et de performance.

Blackout total lors du trajet retour. Par conséquent, j'ouvre les yeux ce matin (il y a une heure) en découvrant le monde tel un nouveau né. Putain, ça fait mal au crâne de naître ! Un bon point : je suis chez moi (un mauvais point : seul). Je découvre petit à petit les éléments qui constituent l'exploit avec lequel je vous tanne depuis 30 lignes : lentilles retirées et trousse de toilette sortie de mon sac à dos, les PC ont étés éteints, ma porte est fermée (je vais aller vérifier quand même (waaaaaou, elle était fermée !)) et je me suis même dessapé. Certes, j'ai envoyé mes fringues partout dans la pièce, mais quand même, belle performance.

Pour renforcer la notion d'exploit, j'ajouterai que mon état ne m'a même pas autorisé à verser correctement dans ma bouche – en clair, j'en ai mis partout – le premier verre de la journée : un double Efferalgant on the rocks.

À suivre : une petite recette.