La mémoire, un des mystère de la (ma ?) vie

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Il y a des choses devant lesquelles les hommes ne sont pas égaux : taille du sexe, résistance à l'alcool, intelligence, force, capacité à ne pas s'énerver devant des flics... Et la mémoire. Étant donné que j'ai tout le reste (...), je vais parler de la mémoire.

J'avoue que, comme on me l'a déjà fait remarquer un bon million de fois rien que cette année, j'ai d'énormes lacunes sur ce point. A ce niveau, on pourrait même parler de fossés, voir de répliques à l'échelle du Grand Canyon. Et même si on met de côté les soirée bien arrosés (il ne reste plus grand chose), c'est toujours pas génial.

L'exemple le plus probant (et le seul dont je me souvienne, vous étiez prévenus !) date d'aujourd'hui. Nous organisions un petit apéro du midi tout ce qu'il y a de plus gentil et discret à la fac. 110 / 120 personnes, pas plus, après, c'est plus très intime. Mine (lapsus...) de rien, ça fait du monde à servir. Tout ce passe bien, l'ambiance est bonne et je ne me doute pas du drame qui va se jouer.

Notre petite affaire se termine sur les coups de 16h20 (petit apéro quoi). Je rentre chez moi et en profite pour taper une petite sieste. Oui, je sais, grosse lopette, bla bla bla. Réveil programmé pour 17h30 et zou, une petite digestion pépère. Et je ne sais pour quelle obscure raison, au réveil, je suis absolument persuadé d'avoir une réunion au bahut à 18h. Voiture, trajet, me voila dans les locaux, mystérieusement déserts (à part quelques bosseurs, des gens bizarres venus d'ailleurs). Vous devinez la suite : il n'y avais pas plus de réunion que de Mister Cocktail à nos soirée.

Je suis gentil, je ne donne que des exemples qui n'impliquent pas les 856 vannes que je me prend quotidiennement à cause de mes fréquents oublis (ou agissements sous l'emprise de l'alcool, mais ce n'est ni incompatible, ni le sujet).

À suivre : petit défi pour vendredi 14.