Vous me connaissez tous sous le pseudo de Riton, ou encore LeRiton. C'est un fait, ça ne se discute même plus. Et bien si. Quelques irréductibles tentent d'apposer leur marque sur ma griffe (quand je parle de marque, je n'évoque pas les marqueurs, c'est une autre histoire). Histoire de rire et de leur faire plaisir, je tente un recensement des surnoms qui m'ont étés affublés. C'est pas glorieux...

Procédons si vous le voulez bien par ordre chronologique. Et ne rêvez pas, je ne vous donnerais pas les surnoms de la famille et des ex. Là, ça irait trop loin.

Bien, tout a commencé avec notre cher Riton. Ça remonte tellement loin que je pense que le docteur qui m'a accouché a vu ce pseudo sur le cordon. Ont suivis au lycée Ritoons, puis LeRiton. Jusque là, j'arrivait à suivre.

Les choses se sont corsée l'année dernière, pour une raison inconnue. Du côté des troyens, je recense depuis plus d'un an :

• Gros Merry,
• Promoe,
• Rotten (Bobo) Youpin,
• Loosy Knoxville,
• Alcoolique (alcolo, et autres variantes... ça devient un surnom quand on ne vous appel que comme ça).

Une légère prise de masse ne doit pas être étrangère à certains d'entre eux, de même que ma superbe période de mauvais œil. Pour ce qui est des apprentis, là, ça se complique. Étymologiquement, il va falloir suivre. L'ordre est important, accrochez vous :

• Richon, dérivé direct de Riton,
• Grochon, dérivé de ce dernier et référence à peine masqué à une légère prise de poids,
• Paperboard, là, je mérite. Venez en soirée, vous verrez,
• Cubiton, pour l'aptitude sous le saint cubi,
• Cubichon, un petit mix,
• Le dernier en date (le pire ?), que je dois à un affreux lapsus d'un prof voulant m'appeler Riton : Rita. Celui là, je sens qu'il va rester...

Je dois en oublier, les joyeux commentateurs ne manquerons pas de me les rappeler.

À suivre : plus qu'une...