L’an dernier, j’organisais la première soirée d’anniversaire collaborative, placé sous le signe du dossier. Vous aviez réagi nombreux, avec verve et verge ou vagin.

Entre temps, j’ai perdu l’un de mes plus fidèles acolyte de picole / dossier / défis à la con en la personne de Pierro, immigré étasunien mais néanmoins diablement chevelu. C’est moche, et d’aucun y verraient un rapport avec le nombre peu élevé cette année de billets sur le thème de hier soir, j’étais encore chargé comme une mule lorsque....

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Suite à l’invitation envoyée il y a quelques temps pour fêter ma maturité, j’ai reçu des réponses à la pelle. Merci donc en premier lieu à tous ceux qui ont répondus, puis à ceux qui seront présents, et enfin à ceux qui ont dûment rempli le modèle de réponse. C’est grâce à eux qu’une fois n’est pas coutume, je vous livre un billet dont je n’aurais pas rédigé grand-chose.

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J’m’en souviens pas. Ça devait être terrible !

Riton, date indéterminée, 2007

Certains se souviennent peut-être d’une soirée de décembre 2006 toute en contradiction. Le temps était froid mais l’atmosphère torride. Nous étions une bonne quarantaine mais beaucoup de rapports intimes se sont déroulés. J’étais (je le suis, je le reste, je vous emmerde) célibataire, et pourtant ce soir là lié à tout jamais avec l’ours GrosBichon et mon désormais célèbre, incontournable et néanmoins immaculé slip. Accessoirement, je prenais une année ce soir là.

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Le caractère sacré du chiffre 7 est souvent évoqué. Les sept doigts de la main, les sept continents, les sept nains… Voilà maintenant sept jours que je fais la fête non-stop pour – coïncidence troublante – clôturer mes sept années de vie étudiante. Oui, je sais, théoriquement, je devrais donc être docteur. De ce côté, c’est raté.

Nous approchons de la fin, reste le plus difficile, l’apothéose de ce projet, l’Everest de tout Gros 2000 : le WAD, pour Week-end des Apprentis Diplômés.

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La consommation moyenne d’alcool par Français et par an est de 12.7 litres (source INSEE). Et comme les plus jeunes – le but avoué du week-end étant de les rendre moins innocents – font furieusement baisser ces statistiques, les anciens se doivent de faire remonter le niveau. Jusqu’à la glotte et au-delà.

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Le paysage défile à travers la fenêtre du RER. Devant ce décor propice aux meilleurs prologues, je pose un regard vide, la bave ne manque que pour des raisons qui seront expliquées plus en détail tout à l’heure. Ceux qui ratent leur arrêt se sont la plupart du temps endormis. Dans mon cas, c’est juste que le cerveau n’est pas branché. Et c’est comme ça depuis une semaine.

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J’ai obtenu mon bac en 2000. Et même si je n’ai pas attendu de quitter le lycée – ni même le collège – pour dissoudre mon honneur dans le stupre et la débauche, force est de constater que les études supérieures, bien que pompeusement nommées, se positionnent un bon cran au dessus. Taille XL, le cran.

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Peu des nouvelles en ce moment, la faute à mon déménagement, aux ferias et surtout à une grosse crise de flemme. On va donc faire court aujourd’hui. Il y a quelques temps, je vous avais présenté mes résultats sur un test de pureté. A l’époque déjà, ça n’était pas brillant.

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On en trouve à partir de 20 €. Il faut les remplir à chaque utilisation, il est plus sain de les vider ensuite. On peut s’y mettre à plusieurs, bien que ce plaisir soit autorisé en solitaire. Selon les goûts de chacun, on y appose une grille ou une broche.

Vous aurez compris que le thème de ce billet serait le barbecue, mais pas celui de papy et mamy au Camping des Étourneaux. Comme tous les ans, les IG2K et quelques extérieurs étaient conviés à fêter la fin des cours, l’arrivée de l’été ou simplement le fait de pouvoir faire la nouba tout le week-end chez Revz, l’hôte d’un des événements de l’année les plus extrêmes.

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L’été arrive, c’est la saison des défis. Impossible de savoir comment celui-ci est parti, mais la difficulté est à hauteur de l’enjeu. Jugez par vous-mêmes, un poème contre une excitante et intrigante photo.

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Là, c’est vraiment du je raconte ma vie, mais ça m’a tellement fait marrer que je n’y résiste pas. Je suis dans ma douche, pressé parce que je pars pour un week-end que je ne manquerai pas de vous raconter.

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À cette époque l’an dernier, j’avais dressé un bilan en demi teinte, où l’échec côtoyait une motivation surréaliste pour 2006. Vous avez pu suivre dans ces lignes mes tribulations, les habitués savent donc que les derniers mois n’ont pas manqué d’amener leur lot de souffrances et de bons moments (liste non exhaustive, je me suis bien marré en parcourant les billets de cette année).

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Je le répète à longueur de semestre depuis près de trois ans maintenant, les études durant ces six mois ne laissent que peu de place à une vie extra-ordinateurale (le terme extrascolaire étant trop restrictif, la fac' n'est ouverte que 13 heures par jours). Les loisirs et autres moments de détente ont donc lieu pour la plupart en cours.

Le FANTON Project s'inscrit dans cette démarche, ne pouvant décemment pas se prévaloir d'un quelconque courant artistique.

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Depuis quelques années maintenant, les personnes méritantes autour de moi se voient octroyer des points. Sans plus d'informations que cela. Il est temps de lever le voile et poser les bases de ce mode de vie (rien que ça).

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Il est des plans que l'on ne peut concevoir sans une certaine dose de folie. Dans le cadre d'un projet professionnel, cette notion découle du manque de compétence ou d'un chef ambitieux (normal, il va rien foutre lui). Pour ce qui est des soirées, c'est autre chose : ce qui ne semble pas réalisable sur le coup peut mener à l'ultime nuit de folie - souvenez vous de Début de Soirée - qui entrera dans la légende, et que les participants évoqueront des siècles durant avec une larme à l'œil et une dose de nostalgie teintée de respect.

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Encore une idée à la con. Un pote (pas très sain lui non plus), m'a proposé un petit test sur le site Griffor. Ce test vise à déterminer votre taux de pureté selon 3 critères principaux : boissons, drogues et sexe. Plus le score est élevé, plus vous êtes dépravé et vil.

Le résultat se passe de commentaires :

Votre score est de 250 point(s).

• Statistiques :
• Pourcentage de réponses positives : 72 %
• Réponses positives sur les boissons : 100 %
• Réponses positives sur les drogues : 50 %
• Réponses positives sur le sexe : 72 %

Vous vivez votre vie à fond les bananes sans peur du lendemain ! (Un score qui vous donne le droit de clamer votre impureté à l'assistance )

Je n'ai malheureusement même pas l'excuse d'avoir triché. Et ce 100 % pour les boissons qui me rappelle ma piteuse condition…

À suivre : changement de peau ?

Samedi soir, pour sa désormais traditionnelle fête dite du Je lâche la maison de mes parents et je prie pour que les murs et meubles tiennent, Wakouille nous avais donc convié pour son anniversaire. Béni soit-il, nous avons fait le maximum pour honorer ce geste.

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Chose promise, chose due : des petites anecdotes croustillantes et compromettantes sur cette semaine ma foi riche en émotions fortes. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé…

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Je vous parlais dernièrement d’une dernière semaine en cours plus proche de l’apocalypse que la majorité des films de Max Pecas (paix à son âme). Cette dernière achevée, nous partîmes – moins de 500, mais quand même - sans demander plus de sommeil pour une semaine à Morillon, station du récent champion olympique de descente Antoine Deneriaz. Un programme prometteur, surtout compte tenu du fait que le trajet n’a pu se faire que grâce à un sponsoring aigu de Guronsan et que les courses ont été bouclées en une heure par deux personnes aux compétences douteuses en la matière.

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Bon, il est un peu tôt pour le dresser, j'ai même de peur décidé de ne pas sortir avant ce soir pour éviter les malheurs.

Voici quand même, en vrac, mon petit bilan 2005 :

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Vous me connaissez tous sous le pseudo de Riton, ou encore LeRiton. C'est un fait, ça ne se discute même plus. Et bien si. Quelques irréductibles tentent d'apposer leur marque sur ma griffe (quand je parle de marque, je n'évoque pas les marqueurs, c'est une autre histoire). Histoire de rire et de leur faire plaisir, je tente un recensement des surnoms qui m'ont étés affublés. C'est pas glorieux...

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En ce moment, c'est un peu dur. Enchaîner les partiels, les projets... Notre vie se résume un peu au nombre de lignes que l'on réussi à taper sans bug. La lose quoi.

Sauf que le destin (n'ayons pas peur des mots) nous réserve parfois quelques bons moments. OK, je suis un peu théâtral, mais qu'est ce que ça peut bien annoncer de ma part ? Je vous le fait comment ? Pendu, Jeopardy, Pyramide, Chiffre et Lettres ? Les plus perspicaces - ou ceux qui lisent le titre des billets - auront déjà trouvé.

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Nous en étions resté à la fin d'après-midi. Bon, vous vous doutez certainement de ce qui a suivi...

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