Le FANTON Project

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C'est vraiment n'importe quoi
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Je le répète à longueur de semestre depuis près de trois ans maintenant, les études durant ces six mois ne laissent que peu de place à une vie extra-ordinateurale (le terme extrascolaire étant trop restrictif, la fac' n'est ouverte que 13 heures par jours). Les loisirs et autres moments de détente ont donc lieu pour la plupart en cours.

Le FANTON Project s'inscrit dans cette démarche, ne pouvant décemment pas se prévaloir d'un quelconque courant artistique.

On dira ce qu'on voudra sur les inspirations qui ont pu motiver les œuvres marquantes de la civilisation, tout est toujours une question d'orgueil – je ne risquerai pas de parallèle évident sur le caractère phallique de la Tour Eiffel ou du syndrome de matte mon ex propre à la Joconde (que les historiens me pardonnent). Toujours est il que dans notre cas, tout est venu d'une réflexion anodine pourtant lourde de conséquence.

Il fait pas un peu froid pour te mettre en short ? Battement d'aile de papillon, boule de neige, doigt dans l'engrenage et autres, le mal était fait, Mini-Gnome (que l'on connaît ici par ses exploits alpestres) venait sans le savoir de saccager notre crédibilité. Ainsi le lendemain, nous étions tous deux en short par une dizaine de degré de température extérieure, gavés d'orgueil et se promettant de faire mieux – comprendre pire – le plus rapidement. Dans le doute, nous convînmes d'un tous les mercredis. Nous nommâmes cette vaine entreprise FANTON Project, une habile contraction de nos pseudos (Fanfan et Riton), mais également l'acronyme de fringues affreusement nulles, trouées ou nazes. Tout un programme.

Depuis, le mercredi est devenu synonyme de honte et d'embarras, surtout depuis que nos camarades nous incitent de manger à l'extérieur. Ainsi la population noiséenne à pu se délecter des journées cow-boys, dépareillées (costume en haut, short de sport en bas), médecins, kilts, famille Adams et dernièrement Brice. Prochainement les défis médiévaux, travestis et pyjamas. Nous sommes preneurs de vos brillantes idées au passage.

À suivre : ça manque de bitures, de stupre et de luxure non ?