Vous avez déjà pu le constater dans un précédent billet, je suis loin de vouer un culte à Superman. La faute en revient peut-être à une garde robe douteuse, ou à des souvenirs aigris de mes tentatives d'envols infructueuses (enfant ou saoul, c'est au choix). Toujours est il que, plein de recul et d'ouverture d'esprit, j'ai accepté de visionner Superman Returns. Que je sois l'un des instigateurs de cette idée – mauvaise, mais assumée – n'a que peu d'importance.

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Et oui, on y pense jamais, mais Superman… C'est une sacré chochotte quant on y réfléchi. Je m'explique : monsieur joue les fiers parce qu'il ne ressent pas la douleur, donc je passe dans les flammes, j'arrête des bus d'écoliers à mains nues et autres joyeusetés. Très bien, la classe, rien à redire.

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