La vie n'est qu'un éternel recommencement... La fête aussi !

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Soirées et évènements
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Samedi soir, pour sa désormais traditionnelle fête dite du Je lâche la maison de mes parents et je prie pour que les murs et meubles tiennent, Wakouille nous avais donc convié pour son anniversaire. Béni soit-il, nous avons fait le maximum pour honorer ce geste.

Pour néanmoins mieux saisir toute l'intensité dramatique de la soirée, car oui c'est le mot, il convient d'effectuer un bref saut dans le temps. Un an plus tôt, quasiment jour pour jour, nous sommes à la précédente fête d'anniversaire de Wakouille. Même endroit, quasiment les mêmes personnes. Dans notre engouement sans limite pour la poésie et les soirée culturelles (à thème ou non, nous ne sommes pas des bêtes), nous avions projeté de nous saouler avec toute la promptitude et le zèle qui nous caractérisent.

On pourrais croire cette entreprise facile, mais que nenni ! La gent féminine vous rappelle toujours à l'ordre, en la personne cette nuit là d'une jeune dévergondée prête à tout pour assouvir sa soif de stupre et de débauche. Et ce ne fût pas chose facile pour elle. Voyez donc, la jeune amazone juchée sur mon bassin, se faisant repousser à coup de casse toi, faut que je picole avec mon cousin !. Désolé, on ne se refait pas. Plus tard, les choses semblaient mieux engagées pour elle, mon Doudou d'amour lui accordant toute son attention… Jusqu'à 22h30, heure ou ledit Doudou c'est effondré sous une trop grande charge alcoolémique. Encore raté, pour cette année en tout cas ! Vint enfin son sauveur, le bel athlète que vous connaissez ici sous le nom d'Amrael (ou Bluefish). En gentleman, il pris son courage à deux mains et calma les ardeurs charnelles de l'effrontée. Une mise en bouche (…) pour ce qui devait se passer l'année suivante.

Retour en 2006. Les protagonistes sont pour la plupart les mêmes, la demoiselle évoquées précédemment n'est néanmoins pas de la partie (pourquoi ?!?). On note dés le début de la soirée une forte propension à former deux groupes. Nous les appellerons les clubbers d'un coté (si d'autres termes vous viennent à l'esprit… C'est normal !) et les pochtrons de l'autre. Force est de constater que ces deux composantes ne sont pas très miscibles, du moins tant que le second groupe n'a pas pratiqué assidûment sont activité de prédilection.

Et pourtant. L'amour, tel une lumière sur la vérité et l'inéluctable, remporte une fois de plus la partie contre les préjugés et les différences ! C'est ainsi que, tels des Roméo et Juliette de notre époque, deux familles qu'apparemment tout oppose se sont vues réunies par une attirance qui ne pourrait être endiguée par de simples clivages sociaux. Et l'histoire se répète.

Voilà comment notre Doudou national, n'écoutant que son cœur (poussé par sa bite / par ses potes, c'est au choix), vint conter fleurette jusqu'à une heure avancée de la nuit à une gentille damoiselle de provenance bruxelloise. L'histoire ne dit pas si deux personnes trop longtemps collées l'une à l'autre peuvent donner naissance à une être composite pouvant à la fois patiner et coder.

À suivre : physique quantique.