Vous connaissez peut-être la théorie selon laquelle toute personne sur cette planète est métaphoriquement parlant à six poignées de main d’une autre, au maximum. Si ce n’est pas le cas, je vous invite à lire l’article associé sur Wikipédia, ou à visionner le film du même nom (vous y trouverez d’ailleurs un Will Smith plus gay que jamais, ce qui ne gâche rien).

À l’heure où la série Lost exploite le filon au maximum et où Facebook vous met devant le fait accompli, on ne se rend pas forcément compte des implications de cette thèse aux apparences anodines. C’est là que j’interviens, voici mes déductions sur ce qu’occasionnent six degrés de séparation.

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Le caractère sacré du chiffre 7 est souvent évoqué. Les sept doigts de la main, les sept continents, les sept nains… Voilà maintenant sept jours que je fais la fête non-stop pour – coïncidence troublante – clôturer mes sept années de vie étudiante. Oui, je sais, théoriquement, je devrais donc être docteur. De ce côté, c’est raté.

Nous approchons de la fin, reste le plus difficile, l’apothéose de ce projet, l’Everest de tout Gros 2000 : le WAD, pour Week-end des Apprentis Diplômés.

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Mon dernier topo cinématographique commence à dater un peu. Pour me faire pardonner, voici mon point de vue précoce sur la suite de 28 jours plus tard, dont le nom laisse imaginer que de l’eau – ou du sang, c’est selon – est passée sous les ponts.

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Vous avez déjà pu le constater dans un précédent billet, je suis loin de vouer un culte à Superman. La faute en revient peut-être à une garde robe douteuse, ou à des souvenirs aigris de mes tentatives d'envols infructueuses (enfant ou saoul, c'est au choix). Toujours est il que, plein de recul et d'ouverture d'esprit, j'ai accepté de visionner Superman Returns. Que je sois l'un des instigateurs de cette idée – mauvaise, mais assumée – n'a que peu d'importance.

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Ça fait longtemps que je n'ai pas critiqué un navet dans ces lignes. La faute à un surplus d'activités le samedi soir et à une borne DVD trop peu fournie dans ce genre (on commence à avoir fait le tour). On se rabat dans ce cas sur les stocks personnel, et le doigt du destin c'est ce soir là pointé sur Furtif (hurlements de désespoir de ceux qui espéraient voir un film potable et cris de joie de la part des amateurs de nanards).

Je vous en fait un pitch : film américain (aïe !) de Rob Cohen (ouch !) où l'on suit les mésaventures de 3 pilotes de la Navy qui intègrent un quatrième équipier un peu particulier, sous la forme d'un avion piloté par une intelligence artificielle. Un habile croisement entre Les Chevaliers du Ciel et K2000 ?

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Et oui, on y pense jamais, mais Superman… C'est une sacré chochotte quant on y réfléchi. Je m'explique : monsieur joue les fiers parce qu'il ne ressent pas la douleur, donc je passe dans les flammes, j'arrête des bus d'écoliers à mains nues et autres joyeusetés. Très bien, la classe, rien à redire.

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Un petit hors-sujet pour commencer : je n'ai pas donné de nouvelles après le Wolf Tour 2006 car il est difficile pour moi de faire plus de 3 lignes de variations sur les thèmes de l'urine et de l'alcool (encore que). Mais ça s'est très bien passé !

Aucun rapport, je suis allé voir The Da Vinci Code (c'est dingue ce qu'on peut faire quand on à l'équivalent du poids d'un bébé en bouffe chinoise dans l'estomac). Résultante - quasi - immédiate : un nouveau billet dans les critiques / coups de gueule !

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Dans l'optique j'ai pas cours, et donc je matte des films toute la journée, aujourd'hui, je re-visionne Equilibrium, un pseudo film d'anticipation à la sauce Matrix.

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Je continue sur ma lancée de films de zombies. Pour vous mettre dans l'ambiance, je suggère de boucler sur le titre des Cranberries du même nom. Si vous ne lisez pas très vite, dans un petit quart d'heure, vous aurez une bonne grosse envie de suicide. Essayez le combo farine + eau, c'est très hype en ce moment.

Toujours est-il qu'aujourd'hui, honneur est fait à l'Armée des Morts, un film de Zack Snyder.

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Au bout d'une semaine, j'arrive enfin à trouver le temps de vous parler des zombies, ou plus spécialement des films de zombies. Un genre d'un niveau pour le moins inégal : vous regardez soit une daube infâme, soit une merveille de décalage. Pour aujourd'hui, ça sera plutôt une bonne surprise. 28 jours plus tard, un film de zombies, mais pas seulement.

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Rien qu'avec ce titre, je suis persuadé d'en avoir fait rêver plus d'un(e). Souvenez vous, Les Goonies, c'est ce film complètement novateur où une bande de gosse part à la recherche du trésor d'un pirate nommé Willy le Borgne.

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Comme je vous l'ai dit (écoutez un peu), je suis étudiant en région parisienne. Cependant, je ne suis pas originaire de Paris, un vrai provincial, voir un bouseux (pour les parisiens, tout ce qui ne vis pas à Paris est un campagnard). Et oui, la ville qui a vu naître le riton se nomme Troyes, dans l'Aube (10). Prononcez, avec une bonne voix bien bourrue tro, don l'ob'.

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Et oui, regardez ses stats, ça a définitivement du bon. Il y a quelques jours, nous découvrions ensemble Marie Chantal, une femme avide de nouvelles sensations gustatives. Aujourd'hui, voici venir une autre demoiselle, Papotoire.

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Devant la vague de soif qui submerge ce monde (mais si, mais si...), j'ai décidé d'inaugurer une nouvelle catégorie : mes fameuses recettes. On ne trouvera pas ici que des boissons alcoolisées, mais il faudrait pour cela que je sache faire autre chose.

Pour l'heure, voici venir le bien connu (et redouté dans mon entourage) Riton Blanc.

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Une citation de plus sur le thème inépuisable de l'alcool. Celle-ci est encore loin d'être fausse à mon sens.

Un alcoolique, c'est quelqu'un que vous n'aimez pas et qui boit autant que vous.

Cette citation est tirée du film Bullit, avec Steeve McQueen. Cultissime.

À suivre : le week-end, ne vous étonnez pas du peu de nouvelles.