C'est pas qu'en ce moment je les accumule, mais presque. C'est sûr que je n'ai pas à me plaindre, mais je constate comme une espèce de recrudescence de ces petits je ne sais quoi qui donnent envie de crier flûte alors.

Les choses se sont vraiment accélérées il y a un an environ. Soirée Halloween, perdage de carte bleue. J'ai découvert à cet instant que le concept je sais que je vais être complètement rond, je prend pas mon portefeuille et je met ma carte dans la poche avant n'était pas ce qui se faisait de mieux en matière de surveillance sous alcoolémie. Paf, une carte bleue.

Petite accalmie ensuite, juste quelques petits pépins comme des freins qui lâchent lors d'un retour de sports d'hiver (tout va bien, il faisait nuit...) ou des lendemains de soirées où je me réveille à des endroits inconnus.

Cet été, j'ai certainement touché ce qui se fait de mieux (ou pire selon les points de vue). J'arrive à me caler une semaine de vacances en Espagne parmi tout ce boulot, ô miracle. Et deux jours avant, c'est le drame : une soirée un peu trop mouvementée (oui, je sais, c'est redondant chez moi) et hop, perdage de portefeuille. Inutile de préciser qu'il contenait permis de conduire, carte d'identité et carte bleue, entre autres. Et hop, on annule les vacances en Espagne (et on se console avec les ferias de Bayonne !).

Et nous voilà donc à samedi soir. Je tiens a préciser avant tout embryon d'idée malsaine de votre part, j'étais à jeun. Ça vous cloue le bec non ? Petit bémol, ça ne m'a pas empêché de perdre mon appareil photo numérique, qui comme les initiés le savent, représente comme un troisième œil pour moi. C'est la joie, champagne pour tout le monde !

Si vous trouvez un numérique dans les environs de Troyes (ou un gri-gri, une potion, un bon désenvoûteur), merci de me contacter. Vous gagnerez le prix de votre choix (vu mes finances, ça risque d'être un don en nature).

À suivre : j'ai retrouvé mon numérique (j'y crois à mort).